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Journal de bord, A la poursuite du soleil et Sur la route du retour
EAN13
9782842657949
ISBN
978-2-84265-794-9
Éditeur
Découvrance
Date de publication
Nombre de pages
287
Dimensions
21 x 15 x 1 cm
Poids
365 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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Journal de bord

A la poursuite du soleil et Sur la route du retour

De

Découvrance

Indisponible
Après une première traversée de l’Atlantique en solitaire en 1923, attiré par le Pacifique et la Polynésie, Alain Gerbault quitte New York en 1924. Il rentre en France en 1929 après avoir navigué autour du monde au gré de son humeur et de ses escales avec le Firecrest : Bermudes, Panama, Galápagos, Gambier, Marquises, Tahiti, Wallis, Fidji, Nouvelle-Guinée, Maurice, Cap-Vert, etc. et c’est ce qu’il nous raconte dans cet ouvrage préfacé par Jean-Baptiste Charcot.

Ce navigateur solitaire est un artiste et un poète sans être un rêveur ; il tire bénéfice pratiquement de ce qu’il voit et ressent – la navigation est d’ailleurs un art, la mer une poésie sans limites. Il sait tout ce que les bons matelots du temps de la voile doivent savoir, il possède à fond le bagage d’un navigateur avisé. Comment a-t-il acquis ces connaissances ? Je l’ignore, mais je sais qu’il a travaillé et travaille toujours, et dans sa volonté de renverser les obstacles, il a improvisé ce que les livres n’ont pu lui donner. Il a apprivoisé et dressé son bateau, ils ne font plus qu’un, et après tout ne sont jamais seuls, car ils ont asservi la mer.

Jean-Baptiste CHARCOT

Alain Gerbault (1893 – 1941) est né dans une famille d’industriels installée à Laval. Il se fait remarquer par son goût pour la compétition et le sport. Il deviendra un excellent joueur de tennis classé. Durant la Première Guerre mondiale, il abandonne ses études d’ingénieur pour s’engager dans l’aviation. En 1921, il décide de changer de vie et achète un voilier en Angleterre : le Firecrest. Après plusieurs navigations en Méditerranée, il part seul traverser l’Atlantique d’est en ouest en 1923. C’est un succès aux USA. Il part en 1924 pour la Polynésie et rentrera une dernière fois en France en 1929. Il disparaît d’épuisement dans l’île de Timor en 1941 après avoir tenté à de multiples reprises d’échapper à la Seconde Guerre.
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