La librairie vous accueille le lundi de 14h à 19h et du mardi au samedi de 9h30 à 19h.
3 rue de la Paix 53000 Laval - 02 43 53 04 00 - librairiemlire@gmail.com

 

État, religion et répression en Asie - Chine, Corée, Japon, Vietnam, XIIIe-XXIe siècles
EAN13
9782811104443
ISBN
978-2-8111-0444-3
Éditeur
Karthala
Date de publication
Collection
HOMMES ET SOCIE
Dimensions
24 x 16 cm
Poids
572 g
Code dewey
320
Fiches UNIMARC
S'identifier

État, religion et répression en Asie - Chine, Corée, Japon, Vietnam, XIIIe-XXIe siècles

Autres contributions de , ,

Karthala

Hommes Et Socie

Offres

Cet ouvrage propose une série d’analyses qui illustre comment, à travers l’histoire de quatre pays d’Asie orientale les instances politiques ont fait usage de la violence en fonction de quatre conceptions différentes des rapports entre État et religion.
Contrairement à une image d’Épinal largement répandue dans l’Occident contemporain, qui veut que les religions d’Asie soient synonymes de tolérance, de sagesse et de non-violence, la vie religieuse dans cette partie du monde présente elle aussi, à l’instar d’autres civilisations, une dimension fondamentalement conflictuelle, chaotique, voire mortifère : schismes radicaux, prosélytismes agressifs, pratiques spirituelles extrêmes pouvant entraîner le décès, violences contre les personnes, destructions de lieux de culte, attaques portées à la foi elle-même...
Dans cet ouvrage, les chercheurs du COLLECTIF ERA (État et Religion en Asie) proposent une série d’analyses concrètes qui illustre comment, à travers l’histoire de quatre pays d’Asie orientale (Chine, Corée, Japon, Vietnam), les instances politiques ont fait usage de la violence en fonction de quatre conceptions différentes des rapports entre État et religion : pluralisme, liberté, impérialisme et athéisme.
S’inscrivant résolument dans une perspective d’histoire connectée, ces spécialistes décrivent comment ces modèles issus d’Occident et/ou d’Asie ont tour à tour dominé la vie religieuse de ces pays en fonction de l’idée qu’on s’y faisait ou qu’on s’y fait encore de la « voie de l’État », celle-là même qui constitue un des ponts les plus solides entre Extrême-Orient et Extrême-Occident.
S'identifier pour envoyer des commentaires.