La librairie vous accueille le lundi de 14h à 19h et du mardi au samedi de 9h30 à 19h.
3 rue de la Paix 53000 Laval - 02 43 53 04 00 - librairiemlire@gmail.com

 

Les Habits Noirs I
EAN13
9782824705767
Éditeur
Bibebook
Date de publication
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

Les Habits Noirs I

Bibebook

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782824705767
    • Fichier EPUB, libre d'utilisation
    • Fichier Mobipocket, libre d'utilisation
    • Lecture en ligne, lecture en ligne
    • Fichier PDF, libre d'utilisation

    Mise en Forme

    • Aucune information

    Fonctionnalités

    • Balisage de la langue fourni

    Normes et Réglementations

    • Aucune information
    0.00
Ce cycle de huit romans, publiés de 1863 à 1875, Les «Habits noirs» est le
signe de l'appartenance aux classes «élevées» de la société et en même temps
le surnom donné à une bande criminelle réelle qui agissait à Paris dans les
années 1830, et qui fut jugée lors d'un procès à sensation en 1845. Ce surnom,
les membres de la bande l'avaient acquis en raison de leurs manières raffinées
et de l'apparence de respectabilité qu'ils avaient endossée. Ainsi est
doublement mise en avant par Féval l'hypocrisie sociale, l'éternelle comédie
grinçante d'une société pervertie par l'absence de valeurs, où le crime règne
sous le masque même de la loi et de l'ordre, les rongeant ainsi de
l'intérieur. La bande criminelle les «Habits Noirs», dirigée par Lecoq, le
bras droit du colonel Bozzo-Corona, le «Maître à tous», organise le vol de la
caisse du banquier Bancelle, en 1825, tout en montant une machination
compliquée destinée à égarer la justice sur un faux coupable (manoeuvre que
les Habits noirs appellent «payer la loi», et qu'ils renouvelleront à chaque
épisode). Ce faux coupable est André Maynotte, sur lequel Lecoq satisfait
ainsi une ancienne vengeance. André Maynotte est condamné, mais réussit à
s'enfuir...Extrait : Et figurez-vous qu'on le connaissait bien. La caisse,
vendue par lui à M. Bancelle, le riche banquier, était célèbre dans la ville
de Caen : une caisse-fée qui défiait les voleurs et vous saisissait le bras du
coquin comme un gendarme ! Paris ne sait qu'inventer ! Le coffre-fort coûtait
cher ; les négociations avaient duré du temps. D'autres richards se tâtaient
déjà pour acquérir un meuble si utile. À Caen on ignorait le nom de Berthier
et Cie ; on disait tout bonnement la caisse Lecoq. M. Lecoq était un jeune
homme illustre.
S'identifier pour envoyer des commentaires.