- EAN13
- 9782824703718
- Éditeur
- Bibebook
- Date de publication
- 14/03/2013
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782824703718
- Fichier EPUB, libre d'utilisation
- Fichier Mobipocket, libre d'utilisation
- Lecture en ligne, lecture en ligne
- Fichier PDF, libre d'utilisation
Mise en Forme
- Aucune information
Fonctionnalités
- Balisage de la langue fourni
Normes et Réglementations
- Aucune information
0.00
Ce livre est plus connu sous le titre «Le bourg de Stépantchikovo et sa
population». Yegor Ilich Rostaniev, colonel à la retraite, est veuf avec deux
enfants de huit et quinze ans. Il vit dans son petit domaine et vient de
recueillir sa mère, dont le mari, le général Krakhotkine, vient de décéder. Sa
mère, insupportable et capricieuse, vit entourée d’une cour de commères
acariâtres. Elle vient de s’enticher d’un parasite doté d’un amour-propre
immense, Foma Fomitch Opiskine. Tout ce petit monde vit maintenant chez
Rostaniev. Extrait : Soulevant ma casquette, je remarquai avec toute la
gentillesse du monde que les voyages nous occasionnent parfois des accidents
bien désagréables, mais le gros bonhomme me toisa des pieds à la tête d’un
regard dédaigneux et mécontent, puis, grommelant, me tourna le dos. Cette
partie de sa personne était sans doute fertile en suggestions intéressantes,
mais peu propice à la conversation. – Grichka, ne ronchonne pas ou je te ferai
fouetter ! cria-t-il à son domestique sans avoir l’air d’entendre mon
observation sur les désagréments du voyage.
population». Yegor Ilich Rostaniev, colonel à la retraite, est veuf avec deux
enfants de huit et quinze ans. Il vit dans son petit domaine et vient de
recueillir sa mère, dont le mari, le général Krakhotkine, vient de décéder. Sa
mère, insupportable et capricieuse, vit entourée d’une cour de commères
acariâtres. Elle vient de s’enticher d’un parasite doté d’un amour-propre
immense, Foma Fomitch Opiskine. Tout ce petit monde vit maintenant chez
Rostaniev. Extrait : Soulevant ma casquette, je remarquai avec toute la
gentillesse du monde que les voyages nous occasionnent parfois des accidents
bien désagréables, mais le gros bonhomme me toisa des pieds à la tête d’un
regard dédaigneux et mécontent, puis, grommelant, me tourna le dos. Cette
partie de sa personne était sans doute fertile en suggestions intéressantes,
mais peu propice à la conversation. – Grichka, ne ronchonne pas ou je te ferai
fouetter ! cria-t-il à son domestique sans avoir l’air d’entendre mon
observation sur les désagréments du voyage.
S'identifier pour envoyer des commentaires.