- EAN13
- 9782824702681
- Éditeur
- Bibebook
- Date de publication
- 14/03/2013
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
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Aide EAN13 : 9782824702681
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Un homme a réussi à cambrioler le cœur d'une femme, jeune mariée, qui du coup
passe des moments intimes avec son amant virtuel par le biais d'une hypnose
maitrisée par l'amant. Extrait : Je n’eus pas plus tôt prononcé ces derniers
mots que Mathilde montra une agitation extrême. « Non ! Non ! Il ne faut pas
aller à Hennequeville ! Monsieur ne serait pas content ! C’est une idée qu’il
a comme ça ! » C’était une Rouennaise, du quartier de Darne’tal. C’est têtu et
madré. Je compris que je n’en tirerais rien. Mais je résolus d’aller à
Hennequeville. J’y fus dès le lendemain. J’y arrivai vers six heures du soir.
Mon Dieu ! que cette campagne me plaisait et que ce domaine avait d’agrément !
Ah ! certes ! avec la verdure lustrée de ses plantureux herbages,
l’encadrement odoriférant de ses haies en fleurs, Hennequeville n’avait rien
de fantomatique... et, cependant, quand j’aperçus tout à coup, au détour du
chemin, la maison fermée, mon cœur se remplit d’angoisse. Jamais la belle
demeure ne m’avait accueilli avec un pareil visage de bois. Quelle étrange
impression je reçus de ses persiennes closes et de ses portes verrouillées !
passe des moments intimes avec son amant virtuel par le biais d'une hypnose
maitrisée par l'amant. Extrait : Je n’eus pas plus tôt prononcé ces derniers
mots que Mathilde montra une agitation extrême. « Non ! Non ! Il ne faut pas
aller à Hennequeville ! Monsieur ne serait pas content ! C’est une idée qu’il
a comme ça ! » C’était une Rouennaise, du quartier de Darne’tal. C’est têtu et
madré. Je compris que je n’en tirerais rien. Mais je résolus d’aller à
Hennequeville. J’y fus dès le lendemain. J’y arrivai vers six heures du soir.
Mon Dieu ! que cette campagne me plaisait et que ce domaine avait d’agrément !
Ah ! certes ! avec la verdure lustrée de ses plantureux herbages,
l’encadrement odoriférant de ses haies en fleurs, Hennequeville n’avait rien
de fantomatique... et, cependant, quand j’aperçus tout à coup, au détour du
chemin, la maison fermée, mon cœur se remplit d’angoisse. Jamais la belle
demeure ne m’avait accueilli avec un pareil visage de bois. Quelle étrange
impression je reçus de ses persiennes closes et de ses portes verrouillées !
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