- EAN13
- 9782706216541
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Fayard)
- Date de publication
- 1972
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Le désir est ce qui meut les hommes : désir du pouvoir ; de l’argent, de
l’amour, de la respectabilité, de la liberté, de la connaissance, etc. On
parvient parfois — par quels moyens ! — à son but. Mais la possession est-elle
le bonheur ? Dans un pays imaginaire, qu’on pourrait croire en Amérique du
Sud, Baldung est depuis de longues années le « Père du Peuple », le dictateur.
Il a conquis le pouvoir et s’y maintient par la violence. Autour de lui se
livrent des luttes diverses : pauvres contre riches, jeunes contre vieux,
filles contre garçons, etc. Un jour, un attentat fomenté par Baldung cause
accessoirement la mort d’un vieux médecin qui avait seul le moyen de le
maintenir en vie. Mis au courant, le jeune ministre Adam Zimmer, élève et
protégé de Baldung, prend les dispositions nécessaires pour hâter la mort de
Baldung et jouir à sa place d’un pouvoir qu’il suppose absolu. Mais, au
sommet, on est seul. Et pour y demeurer, il faut inflexiblement sacrifier ceux
qui vous sont les plus proches et les plus chers. La Possession est un roman
violent, obsédant, plein de péripéties et de coups de théâtre tragiques et
comiques, dans lequel une mystérieuse poésie nait des situations, des
sentiments et du style très personnel de Jean Bassan.
l’amour, de la respectabilité, de la liberté, de la connaissance, etc. On
parvient parfois — par quels moyens ! — à son but. Mais la possession est-elle
le bonheur ? Dans un pays imaginaire, qu’on pourrait croire en Amérique du
Sud, Baldung est depuis de longues années le « Père du Peuple », le dictateur.
Il a conquis le pouvoir et s’y maintient par la violence. Autour de lui se
livrent des luttes diverses : pauvres contre riches, jeunes contre vieux,
filles contre garçons, etc. Un jour, un attentat fomenté par Baldung cause
accessoirement la mort d’un vieux médecin qui avait seul le moyen de le
maintenir en vie. Mis au courant, le jeune ministre Adam Zimmer, élève et
protégé de Baldung, prend les dispositions nécessaires pour hâter la mort de
Baldung et jouir à sa place d’un pouvoir qu’il suppose absolu. Mais, au
sommet, on est seul. Et pour y demeurer, il faut inflexiblement sacrifier ceux
qui vous sont les plus proches et les plus chers. La Possession est un roman
violent, obsédant, plein de péripéties et de coups de théâtre tragiques et
comiques, dans lequel une mystérieuse poésie nait des situations, des
sentiments et du style très personnel de Jean Bassan.
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