- EAN13
- 9782260037606
- Éditeur
- Julliard (réédition numérique FeniXX)
- Date de publication
- 1972
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
À la veille de la quarantaine, Laurent se donne, à Venise, trois jours de
l’été 1972 pour sortir de ses prisons. Elles sont nombreuses ; les parents :
murés dans leur amour ; Elfried, une Allemande : à dix-huit ans — il en avait
onze — elle a eu un geste qui, croit-elle, les a damnés ; Irène, sa sœur :
proie puis victime d’une trouble passion ; Françoise, directrice d’un théâtre
forain : partagée entre la saveur de la sensualité et le goût de la mort ;
Florence, une jeune divorcée : elle a usé sa sérénité contre les phantasmes de
Laurent. A Venise, en ignorant tout de ses prisons, Julie tente de l’en
libérer. Mais les « signes » se multiplient, mais une touriste qui pourrait
être Elfried inquiète autant Julie que Laurent, mais les issues se révèlent
culs-de-sac. Il s’obstine pourtant à quêter l’humble et merveilleux
contentement de soi que sa mère appelle « l’enfance de l’art ». Le
trouvera-t-il à Venise où « dès juillet, et jusqu’à septembre, l’air qui danse
à midi sur la place Saint-Marc diffuse des effluves germaniques » ? A Venise
où toute réalité devient théâtre.
l’été 1972 pour sortir de ses prisons. Elles sont nombreuses ; les parents :
murés dans leur amour ; Elfried, une Allemande : à dix-huit ans — il en avait
onze — elle a eu un geste qui, croit-elle, les a damnés ; Irène, sa sœur :
proie puis victime d’une trouble passion ; Françoise, directrice d’un théâtre
forain : partagée entre la saveur de la sensualité et le goût de la mort ;
Florence, une jeune divorcée : elle a usé sa sérénité contre les phantasmes de
Laurent. A Venise, en ignorant tout de ses prisons, Julie tente de l’en
libérer. Mais les « signes » se multiplient, mais une touriste qui pourrait
être Elfried inquiète autant Julie que Laurent, mais les issues se révèlent
culs-de-sac. Il s’obstine pourtant à quêter l’humble et merveilleux
contentement de soi que sa mère appelle « l’enfance de l’art ». Le
trouvera-t-il à Venise où « dès juillet, et jusqu’à septembre, l’air qui danse
à midi sur la place Saint-Marc diffuse des effluves germaniques » ? A Venise
où toute réalité devient théâtre.
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