- EAN13
- 9782234068896
- Éditeur
- Stock
- Date de publication
- 18/08/2010
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Aide EAN13 : 9782234068896
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« Elle a trouvé l’amour parfait, c’est l’amour interdit. Il y a longtemps
qu’elle le savait, mais elle ne l’avait jamais si bien senti. Cette histoire
d’amour impossible, c’est parfait, c’est exactement ce qu’il lui fallait. Une
histoire qui ne peut pas durer, une histoire qui doit forcément s’arrêter, qui
va se finir bientôt, qui devrait logiquement se terminer, alors chaque fois
qu’elle le voit, elle se dit que c’est peut-être la dernière fois, que c’est
certainement la dernière fois, ou que si c’est pas la dernière, c’est l’avant-
dernière, et la dernière ce sera la prochaine fois, car il faudra bien arrêter
tout ça, de toute façon il faudra arrêter, ou cette fois ou la prochaine, ou
la fois d’après mais il faudra arrêter. Parce que ça peut pas continuer, c’est
pas possible. »
On l’entend, La mort naturelle est portée par une écriture physique, sensuelle
et violente, crue et obsessionnelle… Ce premier roman s’imprime dans la tête,
la peau du lecteur, par sa voix qui vous happe et dit au plus près, au plus
juste, la passion, le désir de l’autre, la pulsion de vie.
qu’elle le savait, mais elle ne l’avait jamais si bien senti. Cette histoire
d’amour impossible, c’est parfait, c’est exactement ce qu’il lui fallait. Une
histoire qui ne peut pas durer, une histoire qui doit forcément s’arrêter, qui
va se finir bientôt, qui devrait logiquement se terminer, alors chaque fois
qu’elle le voit, elle se dit que c’est peut-être la dernière fois, que c’est
certainement la dernière fois, ou que si c’est pas la dernière, c’est l’avant-
dernière, et la dernière ce sera la prochaine fois, car il faudra bien arrêter
tout ça, de toute façon il faudra arrêter, ou cette fois ou la prochaine, ou
la fois d’après mais il faudra arrêter. Parce que ça peut pas continuer, c’est
pas possible. »
On l’entend, La mort naturelle est portée par une écriture physique, sensuelle
et violente, crue et obsessionnelle… Ce premier roman s’imprime dans la tête,
la peau du lecteur, par sa voix qui vous happe et dit au plus près, au plus
juste, la passion, le désir de l’autre, la pulsion de vie.
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