- EAN13
- 9782207126929
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Denoël)
- Date de publication
- 1989
- Collection
- Histoire romanesque [1984-1999]
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
La Patricienne
Flore-Hélène Vauldane
FeniXX réédition numérique (Denoël)
Histoire romanesque [1984-1999]
Livre numérique
Sulpicia, jeune Romaine, est intelligente, cultivée, très belle. Cérinthus,
jeune Grec, est intelligent, cultivé, très beau. Tous deux habitent le
magnifique palais de Valérius Messala, l'illustre général, le protecteur des
artistes, l'aristocrate humaniste. Sulpicia, nièce de Messala, est
patricienne, de la plus haute noblesse qui soit. Cérinthus, secrétaire de
Messala, est un esclave. Rien, absolument rien, n'est concevable entre eux,
que sépare une barrière sociale parfaitement étanche. D'autant qu'en cette
année 23 avant J.-C., Octave-Auguste, maître de Rome depuis quatre ans,
prétend restaurer les vertus d'autrefois. Alors Sulpicia et Cérinthus, qui se
sont découvert l'un pour l'autre une passion brûlante, sont condamnés à
s'aimer à la dérobée, car le scandale serait mortel. Seule la charmeuse et
vicieuse Julie, fille d'Auguste, et le délicat poète Tibulle, ami d'enfance et
de cœur de Sulpicia, les ont devinés. Mais la fière et impétueuse patricienne
ne parvient pas à dissimuler jusqu'au bout, et le drame s'abattra sur les
amants comme la foudre. Ce récit tragique d'un amour impossible, superbe comme
de l'antique, baigne dans un environnement politique et culturel à la fois
riche et précis, car Sulpicia, comme tous les autres personnages de ce roman,
a réellement existé. Nous avons conservé d'elle six poèmes brûlants,
orgueilleux, déchirants. Enchâssant le destin imaginaire de Sulpicia et de
Cérinthus dans les fastes de l'histoire romaine, l'auteur nous entraîne à une
soirée chez Mécène, à un week-end champêtre chez Tibulle, ou dans l'animation
bruyante du Forum.
jeune Grec, est intelligent, cultivé, très beau. Tous deux habitent le
magnifique palais de Valérius Messala, l'illustre général, le protecteur des
artistes, l'aristocrate humaniste. Sulpicia, nièce de Messala, est
patricienne, de la plus haute noblesse qui soit. Cérinthus, secrétaire de
Messala, est un esclave. Rien, absolument rien, n'est concevable entre eux,
que sépare une barrière sociale parfaitement étanche. D'autant qu'en cette
année 23 avant J.-C., Octave-Auguste, maître de Rome depuis quatre ans,
prétend restaurer les vertus d'autrefois. Alors Sulpicia et Cérinthus, qui se
sont découvert l'un pour l'autre une passion brûlante, sont condamnés à
s'aimer à la dérobée, car le scandale serait mortel. Seule la charmeuse et
vicieuse Julie, fille d'Auguste, et le délicat poète Tibulle, ami d'enfance et
de cœur de Sulpicia, les ont devinés. Mais la fière et impétueuse patricienne
ne parvient pas à dissimuler jusqu'au bout, et le drame s'abattra sur les
amants comme la foudre. Ce récit tragique d'un amour impossible, superbe comme
de l'antique, baigne dans un environnement politique et culturel à la fois
riche et précis, car Sulpicia, comme tous les autres personnages de ce roman,
a réellement existé. Nous avons conservé d'elle six poèmes brûlants,
orgueilleux, déchirants. Enchâssant le destin imaginaire de Sulpicia et de
Cérinthus dans les fastes de l'histoire romaine, l'auteur nous entraîne à une
soirée chez Mécène, à un week-end champêtre chez Tibulle, ou dans l'animation
bruyante du Forum.
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