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  • Conseillé par (Libraire)
    11 mai 2021

    Un véritable enchantement !

    Un bel éloge de la plus grande forêt du monde : la forêt amazonienne ! Le tout avec un personnage très attachant qui préfère la poésie des romans d'amour à a compagnie des humains et de leur cruauté !


  • 24 février 2011

    Un magnifique conte au coeur de la forêt amazonienne

    L’histoire de cet homme est émouvante : déchiré entre son statut et ses habitudes d’homme blanc, il aimerait pourtant se fondre dans la forêt amazonienne comme les Indiens Shuars. Il tente d’œuvrer pour cet idéal harmonieux, mais se heurte sans cesse à des difficultés liées aux hommes et au progrès.


    « Tu es le chasseur des Blancs, tu as un fusil, tu violes la mort en l’entourant de douleur. » (p. 118)

    - Pour oublier cette difficile adaptation, notre vieil homme se plonge dans la lecture de romans d’amour, qui le coupent du monde et lui font entrevoir un univers enchanteur.

    « Antonio José Bolivar ôta son dentier, le rangea dans son mouchoir et sans cesser de maudire le gringo, responsable de la tragédie, le maire, les chercheurs d’or, tous ceux qui souillaient la virginité de son Amazonie, il coupa une grosse branche d’un coup de machette, s’y appuya, et prit la direction d’El Idilio, de sa cabane et de ses romans qui parlaient d’amour avec des mots si beaux que, parfois, ils lui faisaient oublier la barbarie des hommes. » (p. 130)

    - Ce conte aux allures philosophiques est admirablement bien construit, parfaitement équilibré. Il est dédié à Chico Mendès, devenu le symbole de la lutte ouvrière pour la préservation de la forêt amazonienne et de ses ressources naturelles face aux grands propriétaires.