La librairie vous accueille le lundi de 14h à 19h et du mardi au samedi de 9h30 à 19h.
3 rue de la Paix 53000 Laval - 02 43 53 04 00 - librairiemlire@gmail.com

 

Une armée de métiers ?, Le 47e régiment d’infanterie pendant la Première Guerre mondiale
EAN13
9782753587427
Éditeur
Presses universitaires de Rennes
Date de publication
Collection
Histoire
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

Une armée de métiers ?

Le 47e régiment d’infanterie pendant la Première Guerre mondiale

Presses universitaires de Rennes

Histoire

Livre numérique

  • Aide EAN13 : 9782753587427
    • Fichier PDF, libre d'utilisation
    • Fichier EPUB, libre d'utilisation
    • Fichier Mobipocket, libre d'utilisation
    • Lecture en ligne, lecture en ligne

    Mise en Forme

    • Aucune information

    Fonctionnalités

    • Balisage de la langue fourni

    Normes et Réglementations

    • Aucune information
    11.99

Autre version disponible

Cet ouvrage poursuit deux objectifs. Le premier consiste à montrer que la
monographie régimentaire est un exercice de style permettant de développer la
connaissance de l’armée française de 1914-1918. Le second, fondé sur l’exemple
du 47e régiment d’infanterie de Saint-Malo, est de voir en quoi l’étude
approfondie de la culture professionnelle des combattants renouvelle les
débats liés à l’endurance des soldats au cours de la Première Guerre mondiale.
Ces débats ont été en effet trop longtemps enfermés dans la dualité de la
contrainte et du consentement, et il s’agit ici de tenter de la dépasser.
Après avoir démontré la pertinence de l’échelon régimentaire comme espace de
réflexion et défini les sources et la méthode employées, le propos s’attachera
à démontrer en quoi consiste le « métier » du 47e RI pendant la Première
Guerre mondiale. Ensuite, il s’agira de se poser la question de la recharge du
capital combattant de l’unité, celui-ci s’émoussant mécaniquement au fil de la
campagne. Enfin, nous envisagerons la sortie du conflit et appréhenderons
l’expérience de guerre, non plus uniquement comme une souffrance subie, ce
qu’elle est indéniablement, mais aussi comme un capital que les anciens
combattants parviennent à faire plus ou moins efficacement fructifier selon
les milieux socioprofessionnels dans lesquels ils évoluent.
S'identifier pour envoyer des commentaires.