- EAN13
- 9782307222026
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (CLD)
- Date de publication
- 1977
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Contraints par les événements politiques de quitter la Grèce — leur pays natal
— Iannis et Stephanos, frères jumeaux, se sont établis à Tours. Tout en
poursuivant leurs études, ils y travaillent pour gagner leur vie. Autour
d’eux, la vie tisse ses charmes : entre Loire et Cher, la ville qu’ils ont
appris à aimer, et puis la douce province, dont ils parcourent les routes en
moto, et surtout Nicole la nordique, Giovanna l’Italienne, Vivianne la
fantasque, Luce l’artiste, filles-fleurs qui retiennent l’amitié, l’amour, les
rêves... Le livre s’ouvre sur l’été naissant, sous le signe des Gémeaux. La
ville, déjà, prend un air de vacances, les amis vont se disperser, mais il
suffit d’un soir pour que le destin se mette en marche, et pour que le rêve
qui, en une nuit récente, a visité Iannis, commence insidieusement à s’écrire
dans le réel. Qui est-elle, la Dame en robe cramoisie qui, de sa main fine,
lui a tendu un ruban jaune ? Et qui est-il, le cavalier noir, que ses
fantasmes lui ont montré au bout de la lice dans la nuit bleue ? Viendront la
fin de l’été ; l’automne, de la Vierge au Scorpion ; les brouillards de
novembre et les joies de Noël. Le Verseau va apporter une nouvelle coulée de
rêveries : le bureau des fêtes de la ville et le bureau des Affaires
culturelles ouvrent un concours pour animer le bal de l’été et, pendant que
Iannis invente les figures du bal, l’amour emplit les cœurs ; Iannis,
Stephanos : la femme — que la vie semble promettre à chacun — sourit, tend la
main. Mais déjà, « le printemps n’est plus le printemps », et tout est prêt
pour le bal de l’été. Le « ciel jongleur d’étoiles a terminé sa série », et le
dieu du temps s’arrête, un bref instant, sur les Gémeaux, si semblables que le
destin peut les confondre en ce moment, sommet de l’amour qui voudrait être
éternel... Bal des Gémeaux, bal de la vie, secret et mystérieux, où chacun,
lui-même avec quelque autre lui-même, dans l’angoisse ou dans la joie, la
ferveur ou la nostalgie, tente de retrouver son accord avec le monde. René
Brassard nous donne ici un beau roman, tendre et pudique, riche de symboles et
d’images, un roman-poème.
— Iannis et Stephanos, frères jumeaux, se sont établis à Tours. Tout en
poursuivant leurs études, ils y travaillent pour gagner leur vie. Autour
d’eux, la vie tisse ses charmes : entre Loire et Cher, la ville qu’ils ont
appris à aimer, et puis la douce province, dont ils parcourent les routes en
moto, et surtout Nicole la nordique, Giovanna l’Italienne, Vivianne la
fantasque, Luce l’artiste, filles-fleurs qui retiennent l’amitié, l’amour, les
rêves... Le livre s’ouvre sur l’été naissant, sous le signe des Gémeaux. La
ville, déjà, prend un air de vacances, les amis vont se disperser, mais il
suffit d’un soir pour que le destin se mette en marche, et pour que le rêve
qui, en une nuit récente, a visité Iannis, commence insidieusement à s’écrire
dans le réel. Qui est-elle, la Dame en robe cramoisie qui, de sa main fine,
lui a tendu un ruban jaune ? Et qui est-il, le cavalier noir, que ses
fantasmes lui ont montré au bout de la lice dans la nuit bleue ? Viendront la
fin de l’été ; l’automne, de la Vierge au Scorpion ; les brouillards de
novembre et les joies de Noël. Le Verseau va apporter une nouvelle coulée de
rêveries : le bureau des fêtes de la ville et le bureau des Affaires
culturelles ouvrent un concours pour animer le bal de l’été et, pendant que
Iannis invente les figures du bal, l’amour emplit les cœurs ; Iannis,
Stephanos : la femme — que la vie semble promettre à chacun — sourit, tend la
main. Mais déjà, « le printemps n’est plus le printemps », et tout est prêt
pour le bal de l’été. Le « ciel jongleur d’étoiles a terminé sa série », et le
dieu du temps s’arrête, un bref instant, sur les Gémeaux, si semblables que le
destin peut les confondre en ce moment, sommet de l’amour qui voudrait être
éternel... Bal des Gémeaux, bal de la vie, secret et mystérieux, où chacun,
lui-même avec quelque autre lui-même, dans l’angoisse ou dans la joie, la
ferveur ou la nostalgie, tente de retrouver son accord avec le monde. René
Brassard nous donne ici un beau roman, tendre et pudique, riche de symboles et
d’images, un roman-poème.
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