- EAN13
- 9782307094388
- Éditeur
- FeniXX réédition numérique (Émile-Paul)
- Date de publication
- 1975
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Livre numérique
Montherlant : « Quel livre extraordinaire ! L’extrême simplicité du style, si
différent des jeux d’esprit de vos cadets, la résurrection de toute une
époque, la connaissance si précise que vous avez de tout ce dont vous parlez,
à tel point qu’on a l’impression de lire une chronique. » Cette « chronique »,
c’est le journal de Maurice Toesca, de 1939 à 1945, alors qu’il était Sous-
Préfet de Neufchâteau, Secrétaire général de l’Aisne, directeur-adjoint du
cabinet du Préfet de Police de Paris, publié sous le titre Cinq ans de
patience. Maurice Toesca a pu suivre les événements de ses divers postes
d’observation, dont il a su faire des postes de combat. Il nous révèle des
documents nouveaux, et nous apporte des anecdotes nous permettant de saisir la
préparation de Juin 1940, l’Exode, la réintroduction de l’administration
française en « zone interdite », et la vie à Paris sous ses différents aspects
: le monde littéraire et artistique, où se développait une certaine «
pédérastocratie » pittoresque, le monde des fonctionnaires qui s’étaient donné
pour mission de préserver — au maximum et en permanence — la vie et la
sécurité de leurs compatriotes.
différent des jeux d’esprit de vos cadets, la résurrection de toute une
époque, la connaissance si précise que vous avez de tout ce dont vous parlez,
à tel point qu’on a l’impression de lire une chronique. » Cette « chronique »,
c’est le journal de Maurice Toesca, de 1939 à 1945, alors qu’il était Sous-
Préfet de Neufchâteau, Secrétaire général de l’Aisne, directeur-adjoint du
cabinet du Préfet de Police de Paris, publié sous le titre Cinq ans de
patience. Maurice Toesca a pu suivre les événements de ses divers postes
d’observation, dont il a su faire des postes de combat. Il nous révèle des
documents nouveaux, et nous apporte des anecdotes nous permettant de saisir la
préparation de Juin 1940, l’Exode, la réintroduction de l’administration
française en « zone interdite », et la vie à Paris sous ses différents aspects
: le monde littéraire et artistique, où se développait une certaine «
pédérastocratie » pittoresque, le monde des fonctionnaires qui s’étaient donné
pour mission de préserver — au maximum et en permanence — la vie et la
sécurité de leurs compatriotes.
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