- EAN13
- 9782221112700
- Éditeur
- Robert Laffont
- Date de publication
- 30/09/2010
- Collection
- Romans Français Laffont
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782221112700
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
13.99
Autre version disponible
-
Papier - Robert Laffont 20,50
Mandrin a laissé dans l'imaginaire des Français l'image du contrebandier au
grand cœur qui venge les fermiers des généraux avides et corrompus. Fils d'un
maréchal-ferrant qui le laisse, à sa mort en 1742, chef d'une famille de neuf
enfants, Louis Mandrin est compromis dans une rixe en 1753, et condamné à être
roué vif.Il s'enrôle alors dans une bande dont il devient bientôt le chef. À
la tête de trois cents hommes (soldats déserteurs, artisans, pauvres gens...),
Mandrin organise un gigantesque trafic de contrebande entre la Savoie et la
France. Cuirs, peaux, grain, fourrage, poudre et plomb, tabac, sel, tissus,
produits coloniaux... Les bandes vendent leurs marchandises dans les foires et
les marchés. Dans les villes brusquement investies, ils libèrent les
prisonniers et s'adonnent à de larges dépenses ; ils disposent de relais et de
la complicité populaire (voire générale, pour le tabac). Arrêté le 11 mai
1755, Mandrin est condamné à mort.Un sujet jubilatoire pour Michel Peyramaure
qui brosse le portrait de cet attachant Robin des Bois français.
grand cœur qui venge les fermiers des généraux avides et corrompus. Fils d'un
maréchal-ferrant qui le laisse, à sa mort en 1742, chef d'une famille de neuf
enfants, Louis Mandrin est compromis dans une rixe en 1753, et condamné à être
roué vif.Il s'enrôle alors dans une bande dont il devient bientôt le chef. À
la tête de trois cents hommes (soldats déserteurs, artisans, pauvres gens...),
Mandrin organise un gigantesque trafic de contrebande entre la Savoie et la
France. Cuirs, peaux, grain, fourrage, poudre et plomb, tabac, sel, tissus,
produits coloniaux... Les bandes vendent leurs marchandises dans les foires et
les marchés. Dans les villes brusquement investies, ils libèrent les
prisonniers et s'adonnent à de larges dépenses ; ils disposent de relais et de
la complicité populaire (voire générale, pour le tabac). Arrêté le 11 mai
1755, Mandrin est condamné à mort.Un sujet jubilatoire pour Michel Peyramaure
qui brosse le portrait de cet attachant Robin des Bois français.
S'identifier pour envoyer des commentaires.