- EAN13
- 9782072262852
- Éditeur
- Gallimard
- Date de publication
- 05/2019
- Collection
- Le Promeneur
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782072262852
-
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
- Impression
-
Impossible
- Copier/Coller
-
Impossible
- Partage
-
6 appareils
- Lecture audio
-
Impossible
14.99 -
Fichier EPUB, avec DRM Adobe
Autre version disponible
-
Papier - Le Promeneur 20,30
Fictions, poèmes, proses d'occasion et pages d'interviews composent ce volume.
Appartenant à toutes les périodes de l'œuvre de Louise de Vilmorin, des années
trente aux années soixante, certains de ces textes furent publiés dans Vogue,
Marie-Claire mais aussi Minotaure, tandis que d'autres, amoureusement
dactylographiés et brochés par Louise, étaient offerts par elle à certains de
ses amis, en une sorte de samizdat amoureux. Écrits pour leur seul plaisir, et
le sien, ils sont aujourd'hui dispersés dans des collections privées, et l'on
aura ici l'occasion de les lire pour la première fois. Des croquis mordants de
"J'étais du mariage" ou "J'ai été séduite" au surréalisme sombre de "Ce soir"
ou de "Démone", de la désinvolture apparente de certains entretiens à un
hilarant "L'argent me ruine", c'est toute la palette, ou l'écho, de la
fantaisie de Louise de Vilmorin qu'offre ce recueil appartenant à tous les
genres ou les défiant tous. On pourrait leur appliquer ce que Louise disait, à
sa manière, à propos de ses romans : "En ce qui concerne mes propres livres,
j'ai toujours regretté que mon éditeur se soit entêté à leur donner
l'appellation trompeuse de roman plutôt que "pâté maison", "machin" ou
"venez-y-voir"."
Appartenant à toutes les périodes de l'œuvre de Louise de Vilmorin, des années
trente aux années soixante, certains de ces textes furent publiés dans Vogue,
Marie-Claire mais aussi Minotaure, tandis que d'autres, amoureusement
dactylographiés et brochés par Louise, étaient offerts par elle à certains de
ses amis, en une sorte de samizdat amoureux. Écrits pour leur seul plaisir, et
le sien, ils sont aujourd'hui dispersés dans des collections privées, et l'on
aura ici l'occasion de les lire pour la première fois. Des croquis mordants de
"J'étais du mariage" ou "J'ai été séduite" au surréalisme sombre de "Ce soir"
ou de "Démone", de la désinvolture apparente de certains entretiens à un
hilarant "L'argent me ruine", c'est toute la palette, ou l'écho, de la
fantaisie de Louise de Vilmorin qu'offre ce recueil appartenant à tous les
genres ou les défiant tous. On pourrait leur appliquer ce que Louise disait, à
sa manière, à propos de ses romans : "En ce qui concerne mes propres livres,
j'ai toujours regretté que mon éditeur se soit entêté à leur donner
l'appellation trompeuse de roman plutôt que "pâté maison", "machin" ou
"venez-y-voir"."
S'identifier pour envoyer des commentaires.